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il y a un siècle, jour par jour
23 août 2018

Les cousins - Navires français perdus - Bulletins officiels Allemands ( extrait) du 23/08/1918

23 août 1918

 

Les cousins

- Jean BRIN (Châtain 86), soldat de la classe 1893, passe du 8e Artillerie à Pied au 1er. Reste intérieur.

- Lazare CONTASSOT, (Charmoy 71), sergent au 154e R.I., est nommé adjudant.

- Louis SUCHET, (Saint-Firmin 71), au dépôt du 85 R.A.L. passe au 201e R.A.C., part aux armées.

- Louis TRIBERT (Saint-Martin l’Ars 86), canonnier du 49e R.A.C., rentre au dépôt (section des paludéens).

 

Navire français perdus

Le Polynésien, des Messageries Maritimes, parti de Bizerte pour Salonique, avec des troupes serbes, a sombré sur une mine dans la matinée du 10 août. Six passagers serves, onze chauffeurs indiens et deux martins de l’équipage ont disparu.

Le vapeur français Balkans, allant de France en Corse, a été torpillé dans la nuit du 15 au 16 août et a coulé au moins d’une minute. Il a été établi jusqu’à présent que 102 personnes étaient sauvées.

 

Bulletins officiels Allemands

G.C.G, 23 août 1918

Extrait

Au Nord de Bray, l’ennemi lança sa cavalerie à l’attaque ; l’ennemi lança sa cavalerie à l’attaque ; elle fut presque entièrement anéantie. Les combats locaux se poursuivirent sur le champ de bataille jusque dans la nuit.

Entre la Somme et l’Oise, la journée fut généralement calme. La forte canonnade au Sud de la Somme faiblit dans la matinée. Au Sud de l’Avre, des attaques françaises près de Fresnières ne purent se développer qu’en partie sous notre feu ; elles furent rejetées. Combats d’infanterie à la Divette.

Entre l’Oise et l’Aisne, à la suite du repli de nos lignes derrière l’Oise, la 20 août, nous avons ramené, dans la nuit du 21 au 22, nos troupes derrière l’Ailette, sans être dérangés par l’ennemi.

Nos combattants encore restés sur la rive Ouest de l’Ailette se dérobèrent à de fortes attaques de l’adversaire entre Manicamps et Pont-Saint-Mard, en se repliant derrière ce secteur.

Entre l’Ailette et l’Aisne, des attaques partielles de l’ennemi échouèrent sous notre feu de noter contre-poussée.

 

1918-08-23 -Fresnières

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